NOUVELLES
de la
Vallée du CIRON
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Courrier électronique occasionnel
Édité par le Club Informatique de PUJOLS sur Ciron
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Adressé aux abonnés:   (142)                   N° 73 du 6 février  2003.
 
 
Sommaire: Saint Valentin.
Les nouvelles de Cironsite.
Les Visons du Ciron.
Les Colverts.
Canoé à Bommes
Placements familiaux.
Riverains de France.
Horaires des messes en Podensacais.
Quelques dates à retenir.
Note: Les textes en bleu-souligné donnent accès à des pages Web. Cliquer dessus.

Etre à deux, être heureux.............!!!

Saint VALENTIN.

Il reste quelques place pour la soirée dansante. 

Pour 26 €. tout compris, dans une ambiance conviviale.

Le menu est  sur les "NOUVELLES" précédentes, le vin est compris.

Pour tous renseignements: 05 56 63 21 12  et  05 56 76 65 67 

Le Club Informatique y envoie une délégation, venez rencontrer des internautes.

Nouvelles de CIRONSITE.

Une nouvelle page est disponible.

Elle traite de l'érection de la commune de CAZALIS avec ses multiples péripéties. Cette ancienne paroisse insérée dans la commune de Préchac à la révolution n'a pu retrouver son rang de commune que le 20 juin 1857. Cliquer ici

La Vallée du Ciron, éco-système heureusement protégé, en plus de quelques Internautes abrite aussi quelques visons d'Europe.

Les Visons dans le Ciron.

Le Vison d’Europe, Mustela lutreola, est une des espèces de mammifères carnivores les plus menacées au monde.

La France possède, en commun avec l’Espagne, la seule population d’Europe occidentale mais celle-ci connaît un déclin rapide.

Sa sauvegarde constitue un des principaux enjeux de conservation du patrimoine naturel de notre pays. En 1999, le Ministère de l’Aménagement du Territoire et de l’Environnement a mis en œuvre un plan national de restauration pour cette espèce.

Une espèce en voie de disparition.

Au siècle dernier, le Vison d’Europe était signalé dans la majeure partie de l’Europe à l’exception de la péninsule scandinave, des îles britanniques et des pays méditerranéens.

Depuis, il n’a cessé de régresser, disparaissant tour à tour d’Allemagne, de Hongrie, de Tchécoslovaquie, d’Autriche, de Hollande, de Pologne et d’Ukraine.

Actuellement, il ne subsiste que des noyaux de population dispersés qui présentent pour la plupart des effectifs réduits. Le plus important, estimé à environ 40.000 individus, est situé en Russie centrale et orientale.

Le noyau occidental, localisé dans le sud-ouest de la France et le nord de l’Espagne, est le plus isolé, à plus de 2.000 km des visons les plus proches de l’est de l’Europe.

En France, la régression a été très rapide. Au début du vingtième siècle, il était signalé dans 38 départements et il semble qu’il ait été relativement commun.

Dans les années 50, il ne se rencontre plus que dans la moitié occidentale du pays, de la Bretagne aux Pyrénées occidentales.

Dans les années 80, il n’est plus signalé que sur un peu plus du dixième du territoire national.

De 1991 à 1997, une étude fine de sa distribution a été menée par le groupe de travail sur la répartition du Vison d’Europe.

Les campagnes de capture réalisées dans 17 départements de la façade atlantique ont montré que la situation du Vison d’Europe en France était particulièrement préoccupante puisque de nos jours, il se retrouve confiné à seulement sept départements : la Charente, la Charente-Maritime, la Dordogne, la Gironde, le Lot-et-Garonne, les Landes et les Pyrénées Atlantiques, soit une régression d’aire de plus de 50% en moins de 20 ans.

A ce jour, aucune estimation des effectifs de la population française ne peut être donnée. Il est toutefois probable que le nombre d’individus se compte en centaines plutôt qu’en milliers.

Mais quel est donc ce petit Mustélidé ?

Le Vison d’Europe présente une morphologie typique de mustélidé : corps élancé, pattes courtes, cou peu différencié, tête légèrement aplatie, museau assez court, oreilles peu saillantes.

Les mâles adultes pèsent de 800 à 1000 g et les femelles de 400 à 600g.

On le reconnaît essentiellement à son pelage brun « chocolat », uniforme, avec un poil de bourre gris.

L’extrémité de la queue et les pattes sont plus sombres, presque noires. Seuls le menton et la lèvre supérieure présentent une tache blanche.

Il peut facilement être confondu avec des putois sombres chez qui le masque facial a totalement disparu. Le critère de distinction le plus constant est alors la couleur jaune du poil de bourre chez le Putois.

On peut également le confondre avec le Vison d’Amérique, élevé en France pour sa fourrure depuis l’entre-deux-guerres et qui s’est implanté dans de nombreuses régions à partir d’individus échappés des élevages.

Les deux espèces ont la même couleur et la même allure générale, mais le Vison d’Amérique est nettement plus gros. Le critère de distinction le plus utilisé est la forme de la tâche blanche du museau qui n’est jamais présente sur la lèvre supérieure chez le Vison d’Amérique.

Comme beaucoup de mustélidés, les visons d’Europe sont des animaux territoriaux dont les sexes vivent séparés la plus grande partie de l’année.

Les mâles et les femelles ne se rapprochent qu’au moment de l’accouplement qui se déroule essentiellement en janvier-février. La durée de la gestation varie de 35 à 72 jours, car il peut exister un phénomène d’ovo-implantation différée.

Les naissances ont lieu en mai juin. Il n’y a qu’une portée par an, de 2 à 7 jeunes. Les jeunes sont allaités pendant une dizaine de semaines et se séparent de la mère à la fin de l’été.

La maturité sexuelle est atteinte vers l’âge de 1 an.

Un animal semi-aquatique.

Le Vison d’Europe est souvent qualifié d’animal semi-aquatique car, bien qu’il passe la plupart de son temps sur la terre ferme, il évolue presque exclusivement à proximité de l’eau.

On le rencontre sur des petites et moyennes rivières le long desquelles il exploite tous les types de zones humides, y compris dans des agro-systèmes très artificialisés.

Les milieux utilisés peuvent être regroupés en cinq grandes catégories : les cours d’eau forestiers, les boisements inondables, les marais, les prairies humides et les ruisseaux traversant les zones agricoles.

Une espèce strictement inféodée aux zones humides.

Afin de mieux connaître le mode d’utilisation de l’espace et les exigences écologiques du Vison d’Europe, un programme de suivi par radiopistage a été conduit de 1996 à 1999 dans les Landes de Gascogne.

Ce travail a permis de suivre les déplacements des animaux, de définir les types de milieux fréquentés, de localiser les gîtes et de récolter des excréments pour étudier leur régime alimentaire.

L’ensemble des résultats a montré que :

- le Vison d’Europe est une espèce exigeante en espace : les domaines vitaux peuvent s’étendre de 2 à plus de 13 km de cours d’eau,

- les animaux ne fréquentent qu’exceptionnellement la pinède et utilisent presque exclusivement les milieux inondables de fond de vallée (boisements hygrophyles principalement),

- le degré d’inondation semble un critère dominant dans le choix des habitats.

Quatre types d’habitats ont été préférentiellement fréquentés par les visons au cours de leurs périodes de repos (gîte), comme au cours de leurs phases d’activité :
- les aulnaies-saulaies à sous-étage clair,
- les aulnaies-saulaies à grands carex,
- les marais ouverts,
- les étangs et cours d’eau.

La majorité des gîtes étaient situés à même le sol, à l’abri d’une végétation dense, constituée le plus souvent par des grosses touffes de Carex paniculata ou de Molinia caerulea, mais également de ronciers.

Les autres gîtes étaient situés dans une cavité entre les racines d’un arbre, dans un terrier, sur une souche d’arbre recépé (généralement d’aulne), sous un tas de bois, dans un tronc creux ou sous le plancher d’une cabane.

Quatre-vingt dix pour cent des gîtes se trouvaient à moins de cinq mètres d’une zone d’eau libre (ruisseau, étang, marais). Près d’un tiers des gîtes était totalement entouré d’eau et seulement 30% des gîtes se trouvaient en zone totalement sèche.

Les analyses du régime alimentaire ont montré que celui-ci est dominé par quatre types de proies fortement liées au milieu aquatique :
- les amphibiens, essentiellement des grenouilles,
- les mammifères essentiellement représentés par
des rats ou des campagnols amphibies,
- les oiseaux et les œufs,
- les poissons parmi lesquels dominent les cyprinidés.

Les exigences du Vison d’Europe en matière d’habitats sont donc essentiellement de disposer de milieux aquatiques fortement productifs (marais, plans d’eau peu profonds, cours d’eau lents) et d’une superficie au moins équivalente à celle des domaines vitaux (bassins hydrographiques).

La présence d’une mosaïque de différents types de milieux humides constitue par ailleurs un atout important puisqu’elle permet la diversification des types de proies accessibles et qu’elle augmente ainsi la probabilité de trouver des ressources suffisantes à chacune des périodes de l’année.

Quelles menaces pèsent sur le Vison d’Europe ?

La régression générale du Vison d’Europe a fait l’objet de plusieurs analyses qui sont interprétées différemment selon les spécialistes.

A ce jour, il n’a pas pu être mis en évidence une cause unique qui pourrait expliquer à elle seule le déclin de l’espèce. Il est probable que celui-ci soit dû à la conjonction de plusieurs facteurs agissant en synergie.

Quatre causes principales sont généralement évoquées.


La destruction des habitats.

La destruction des zones humides, qui s’est considérablement accélérée dans la seconde moitié du vingtième siècle, a sans aucun doute été très défavorable au Vison d’Europe.

La dégradation récente de nombreux milieux naturels (pollutions, artificialisation de la végétation,…) s’est par ailleurs traduite par une baisse globale de leur capacité d’accueil pour l’espèce.


Les destructions directes.

 Au cours du vingtième siècle, le piégeage pour la fourrure a joué un rôle majeur dans la régression du Vison d’Europe. L’espèce est protégée depuis 1976, mais dans certaines régions, des animaux ont continué à être détruits accidentellement, par confusion.

En  Bretagne par exemple, les campagnes massives de destruction de visons d’Amérique ont probablement joué un rôle important dans la disparition du Vison d’Europe.

Dans les départements où le Putois est classé « nuisible », il existe également un risque d’erreur d’identification de la part des piégeurs.

Certaines infrastructures routières peuvent également être meurtrières. Même si le nombre total de visons victimes de collisions est difficile à estimer, tout facteur supplémentaire de mortalité s’exerçant sur des populations fragiles peut conduire rapidement à une situation irrémédiable.

Enfin les campagnes d’empoisonnement des rongeurs déprédateurs constituent également une menace bien réelle. En effet, ces rongeurs constituent des proies potentielles du Vison d’Europe et des intoxications secondaires par consommation d’individus empoisonnées ont largement été mises en évidence chez les carnivores.

La compétition avec le Vison d’Amérique.

Le Vison d'Amérique tend à s'étendre de plus en plus en France et il est probable que, si rien n’est fait, il colonisera à terme la totalité des réseaux hydrographiques encore occupés par le Vison d’Europe.

Sa présence n’est pas souhaitable car il occupe la même niche écologique que le  Vison d’Europe et il a un effet indirect très défavorable sur celui-ci, du fait des dégâts qu’il occasionne dans les piscicultures et les élevages agricoles.

Dès qu’il est présent, des campagnes de destruction sont organisées et il y a alors un risque important de confusion entre les deux espèces.

L’action d’agents pathogènes.

Depuis quelques années, émerge l’idée que la chute des effectifs de visons d’Europe pourrait résulter au moins en partie de problèmes pathologiques.

 Une des hypothèses serait que le Vison d’Amérique aurait introduit un agent infectieux auquel il résisterait lui même relativement bien, mais qui décimerait les populations de visons d’Europe déjà fragilisées.

La maladie aléoutienne est en particulier bien connue pour affecter les élevages de visons d’Amérique mais de nombreuses autres pathologies peuvent également être incriminées.

 Le plan national de restauration du Vison d’Europe.

 Face à l’urgence de la situation, le Ministère de l’Aménagement du Territoire et de l’Environnement a mis en place un plan national de restauration, prévu pour une période de cinq ans (1999-2003). Son ambition est non seulement de stopper le déclin actuel, mais également de permettre la recolonisation d’au moins une partie des territoires perdus ces dernières années.

Christine Fournier et Pascal Fournier (GREGE)

Extrait de VISON infos n°1. Bulletin d’information du plan national de restauration du Vison d’Europe édité par la DIREN Aquitaine, 95, rue de la Liberté, 33073 Bordeaux cedex, Téléphone : 05 56 93 61 00.
Possibilité de le recevoir par E-Mail, demandez  à ancochet@wanadoo.fr

Contact : 
Karen Le Feuvre, Mission Vison d’Europe, Menjucq, 40110 Arjuzanx, 
Téléphone : 05 58 04 14 05

Mél : vison.europe@laposte.net
Site internet
: http://perso.wanadoo.fr/vison.europe/

IMPORTANT : En cas de capture ou de découverte d’un Vison d’Europe ou d’Amérique, vivant ou mort, merci de prévenir le plus rapidement possible le Docteur Pascal FOURNIER au 06 08 31 15 42.

Et l'on se prend à rêver.....  voir revivre  dans la Vallée du Ciron
  toutes ces bestioles sauvages qui donnent, par leur découverte,  
de l'agrément aux promenades.

Les Colverts.

 

La Fédération départementale des chasseurs de la Gironde procède actuellement  la réintroduction de deux mille colverts reproducteurs sur l'ensemble du département.

Environ quatre-vingts lâchers (gratuits) de dix à plus de cinquante oiseaux, selon la nature et la surface du site, étaient effectués le 28janvier.

 

Un des objectifs de la Fédération s'est concrétisé: favoriser le repeuplement en canards, et tout spécialement les colverts, sur le secteur de la Gironde possédant des plans d'eau ou cours d'eau.

Jean-Pierre Chusseau, technicien de la Fédération, a donc confié  quelques spécimens de colverts, mâles et femelles, afin de les lâcher mardi sur les berges du Ciron. 

Les sociétés de chasse locales: Escaudes, Giscos, Goualade, Saint-Michel-de-Castelnau et Lartigue  étaient concernées par cette opération.

 

Doublement de la population.

 

Ces lâchers s'inscrivent dans le plan de gestion du Ciron où  il est interdit de tirer les canards dans un périmètre de protection,  à savoir 100 mètres de chaque côté  de la rivière le Ciron, de sa source jusqu'à la limite de Captieux.

 

Ces types de lâchers sont effectués une fois par an et ont commencé, il y a déjà  cinq ans.

 

La première année, seulement trois cents canards avaient été lâchés.

 

L'expérience acquise autorise à espérer, dans l'hypothèse la plus basse, un doublement de la population locale en canard en cinq ou six ans, constituant ainsi, outre une nouvelle ressource cynégétique, un facteur de vie sur des sites généralement pauvres en gibier d'eau.

Les chasseurs locaux effectuent des opérations de comptage et constatent des nichées tous les ans. Ces canards ont perdu leur instinct migrateur, nul ne sait si, ces colverts provenant du Centre de la France s'acclimateront au patois des canards locaux ! 

Pascal Greget .   

Article paru dans Sud-ouest du vendredi 31 janvier 2003.

Pourquoi ne pas étendre ces dispositions sur toute la rivière ?
Mettre la Vallée à l'abri des boum-boum.....
Pour que sa faune vive en paix.

 Canoés-Kayak à Bommes.

Dimanche 9 février 2003 aura lieu à Bommes le:

 

Sélectif régional de descente de rivière.

Epreuve pour la sélection en championnat de France.

 

Plus de 200 compétiteurs descendront le Ciron du pont de Caussarieu à Léogeats au Club Nautique de Bommes, soit 7 kms,  entre 13 h 30 et 16 h.

 

Le matin, ce seront les petits qu partiront du pont de la Madeleine de 10 h 30 à midi.

Comme il doit faire beau, c'est une occasion de revoir le Ciron où il se passe quelque chose et encourager ces jeunes courageux.

 

Appel,  aux Cironniens ou Cironnais, qui a la réponse ?

Association des Riverains de France.

Comme chacun le sait, une rivière coule entre deux berges, plus en cas d'île ou de bief. Le Ciron est comme toute les rivières, elle en a une de chaque côté. 

Ces berges appartiennent, dans l'immense a majorité des cas, à des propriétaires privés.

Ceux-ci ont des droits mais aussi des devoirs sont attachés à ces biens, mais les propriétaires riverains sont quelquefois placé devant des obligations et des contraintes  dont ils ont du mal à apprécier le bien fondé et la légalité car le droit de l'eau est très complexe.

Un certain nombre de décisions administratives furent prises qui restreignent le droit de propriété. Elles ne se manifestent qu'épisodiquement comme le droit de préemption que s'est octroyé le Conseil Général et qui n'est perceptible que lors des mutations et il est trop tard.

D'autres seront décidées en application de la directive "NATURA 2000". Elles peuvent  être indispensables ou utiles à la sauvegarde des richesses de cette vallée mais elles peuvent aussi avoir des incidences imprévues ou fâcheuses.

Les propriétaires riverains et responsables auraient donc un intérêt a se tenir informé de ces modifications étudiées et éventuellement apporter leurs suggestions pour qu'elle soient le plus pertinentes possible.

Curieusement, beaucoup de gens et d'organismes s'intéressent, participent à l'étude et l'élaboration de ces décisions mais il ne semble pas que les propriétaires riverains, en tant que tels, soient représentés. Pourtant c'est de leur patrimoine dont il s'agit.

Et si cette Vallée a gardé une richesse exceptionnelle, en faune, flore, édifices etc... c'est bien que les propriétaires riverains ne l'ont pas massacrée comme cela s'est passé sur beaucoup d'autres rivières.

Pour pallier à cette lacune, et préserver leurs droits ,les propriétaires riverains auraient intérêt à se rassembler dans une Association qui serait de nature à les informer, étudier les décisions qui les concernent et les défendre le cas échéant.

Le Club Informatique peut aider à la constitution d'une Association des propriétaires riverains comme il a aidé l'Association des Amis des Moulins à se faire connaître dans la Vallée du Ciron. 

Un appel est donc lancé aux personnes concernées pour qu'elles en parlent autour d'elles, qu'elles se fassent connaître.

Lorsqu'un groupe sera constitué, une réunion d'information pourrait être organisée avec la présence d'un responsable de l'Association des riverains de France à même de traiter le sujet et de répondre aux interrogations des riverains du Ciron.

Il suffit de quelques bonnes volontés pour lancer la machine.

Pour se manifester: André COCHET  Lamagnon 33210 Pujols sur Ciron.
                                             Tel: 05 56 76 63 12   Mel:     
ancochet@wanadoo.fr  

Urgent: Recherchons familles acceptant de recevoir un enfant pendant le mois de juillet.

Placements familiaux. 

Par le Secours Catholique:  Accueil Familial de Vacances.

Accueillir un enfant : c'est vivre concrètement la solidarité ! 
Vous êtes prêts à partager votre vie de famille... 
Vous voulez donner de l'affection, du temps à un enfant ... 
Vous êtes prêts à ouvrir votre maison et votre coeur...

Pour vos enfants ce sera l'occasion de partager avec un copain, une copine, pendant 4 semaines en juillet.

Cet enfant a besoin de retrouver un équilibre.
Cet enfant a besoin de tendresse. 
Cet enfant a besoin de vous ! Pour construire sa personnalité, être accepté, aimé tel qu'il est.    

Serez- vous cette famille d'accueil ?

Parlez en famille , autour de vous. 

Contacts:  Françoise de Marcellus: 65.56.25.03.97 ou Soeur Elisabeth : 05.56.63.05 01

 

C'est une expérience enrichissante pour tous, enfants et Parents. En plus c'est vrai...

Horaire des messes

 dans le secteur pastoral de Podensac.  

  18 h. le samedi 9 h 30  10 h 30 11 h.
8/9 février Portets Illats Landiras Podensac
15/16 février     Landiras Podensac
22/23 février Barsac Arbanats Landiras Podensac
1/2 mars Portets Virelade   Podensac
8/9 mars Barsac Saint Michel   Podensac
15/16 mars Portets Cérons Landiras Podensac

Dand la plupart de ces manifestations il y a des places libres. 

Quelques dates à retenir.....

à Pujols.....

 

Samedi 15 Février Repas dansant de la St-Valentin  Comité des Fêtes
Week-end 22/23 Mars Fête de l'Internet Club Informatique
Jeudi 29 Mai  Traditionnel rallye-randonnée pédestre de l'Ascension, dans l'île. Comité de Jumelages et... d'Animations
Week-end 13/14 Juin Voyage à Casalarreina

Comité de Jumelages  et...   

Week-end 21/22 Juin  Randonnée au Cirque de Gavarnie Comité de Jumelages et ...
Week-end 5/6 Juillet  Voyage en Camargue  Comité de Jumelages et...
1er Week-end Août  Fêtes de la St-Pey  Comité des Fêtes

idem.

Vide-Grenier Comité de Jumelages et...
13/14 Septembre Venue des Espagnols  Comité de Jumelages et...

                       

Ouf, un de plus....!

Club Informatique de PUJOLS sur CIRON     Foyer Rural    33210 PUJOLS sur CIRON 
Président Christian FLAGES    Tel: 05 56 76 61 98
E-mail: pujols.info@wanadoo.fr
Site: http://perso.wanadoo.fr/pujols-sur-ciron
Site: http://www.vallee-du-ciron.com
Site: Cironsite

 Le webmixer
André COCHET
Tel: 05 56 76 63 12
ancochet@wanadoo.fr
 
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