Lerm et Musset.

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Asso Pêche 26 avril 2007 Truites 12 avril 2007    

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Sud Ouest 12 avril 2007.

Des bassins du Caouley sortent 350 tonnes par an de truites de belle taille.

La truite en son royaume.

Si le moulin du Caouley élève des truites depuis plus de vingt cinq ans, c'est désormais une entreprise spécialisée dans l'élevage de grosses pièces.

M. Espuny et deux employés veillent sur des bassins où, en deux ans, les petits poissons de 60 à 80 grammes vont devenir des truites de trois kilos, destinées à la transformation en filets fumés.

Basée à Roquefort, la société Aqualand a séparé les activités et créé des pôles de génétique reproduction, d'élevage et de transformation.

Sous l'appellation commerciale « Landvika », c'est plus d'une truite fumée sur deux vendue en France, élevée dans vingt six piscicultures dont celle du moulin de Caouley.

La production est régulière avec quatre arrivées annuelles de jeunes truites qui repartent régulièrement vivantes dans un camion rempli d'eau vers Roquefort où elles sont transformées.

Précision et surveillance.

Avec un produit à forte valeur ajoutée, il faut une surveillance constante des bassins : en cas d'anomalie (température, oxygénation), la réaction doit être rapide pour éviter de perdre une partie d'un bassin.

Pour cela, même la nuit, une alarme téléphonique assure une veille permanente des pensionnaires. Carnivores, les truites sont engraissées avec un mélange de farine de poisson, de céréales et d'huile de poisson. Elles sont nourries à la main dans un premier temps, puis à l'aide d'un silo pendulaire lorsqu'elles sont plus aptes à se servir sans pénaliser leurs congénères.

Une sonde analyse en permanence la bonne oxygénation de chaque bassin et un aérateur se met en service en cas de besoin. Cette pension de luxe explique le prix du produit fini. Mais dans une région où la bonne chère est reine, c'est accessoire.

Solange Degruson.

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Le Républicain 26 Avril 2007

ASSOCIATION / Naissance d'un club de compétition de pêche à la truite.

Les pêcheurs No Kill 33 entrent en compétition.

Jean-Pierre Rojodiaz a créé un club départemental de compétition de pêche à la truite. Il espère attirer des pécheurs girondins vers cette discipline à travers laquelle les pratiquants mesurent leur dextérité et leur technique.

Jean-Pierre Rojodiaz (au centre) veut faire partager sa passion de la compétition.

La pêche à la truite est une passion pour de nombreux pêcheurs. Une passion qui prend une autre dimension quand elle est pratiquée en compétition. C'est le cas pour Jean-Pierre Rojodiaz qui fait partie de ses compétiteurs de «pêche à la truite aux appâts naturels» (à savoir ver et teigne).

Avec deux membres de sa famille et quelques passionnés, ils participent aux épreuves inscrites dans le cadre du Championnat de France et du Championnat du monde. Jusqu'à présent membres du club toulousain de la discipline, ces neuf pêcheurs émérites ont décidé de créer un club girondin de compétition qu'ils ont baptisé «Les pêcheurs No Kill 33» (le poisson, pris à l'aide d'hameçons sans ardillon, est toujours relâché), sous l'égide de la Fédération Française de Pêche.

L'objectif de l'association est double: le premier est de recruter des co-équipiers pour accroître les chances de parvenir en Championnat national et international, et pourquoi pas battre les italiens, grands maîtres de la discipline.

Les compétitions se déroulent par équipes ou individuellement le long de parcours de cinq kilomètres. Durant deux séances de trois heures, les concurrents sont jugés sur le nombre de prises. Un art qui exige rapidité et doigté, donc entraînement et affinement des techniques.

La seconde vocation du Club est d'initier les jeunes à la pêche lors de journées dédiées à l'apprentissage.

En parallèle, le club mènera des actions conjointes avec la Gaule Grignolaise. 

Les deux associations ont en projet commun le réaménagement des petites rivières affluentes au Ciron pour une gestion durable de la faune.

Pour asseoir sa notoriété, le Club organise le Ier mai une journée pêche au lac de Taves.

L'occasion de diffuser auprès des amateurs de nouvelles techniques de pêche et de susciter des vocations.

F.G.

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