Balizac.

La vie du Village.

         
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Budget 21 avril 2006        
Voeux 2007 27 janvier 2007        

Sud Ouest 27 janvier 2007

Le maire Michel Lacôme a présenté ses voeux pour l'année 2007.

L'humour d'un maire.

Il faut le noter : on a beaucoup ri pendant le discours des voeux de Michel Lacôme, maire de Balizac et président de la Communauté de Communes du Pays Paroupian.

Il a comme tout autre maire remercié les présents : les « personnalités représentant les services », ses collègues maires du canton, les conseillers municipaux, le personnel de la mairie et de la CdC, les représentants des associations et enfin les Balizacais.

Mais il l'a fait en truffant son propos de « bons mots » et de remarques amusantes.

En homme qui « ne se prend pas au sérieux ».

Par exemple, il fit rire l'auditoire sur son affection oculaire, en définissant ainsi Françoise Vimeney, la maire adjointe: « mon bras droit et mon oeil gauche ».

Ou encore sur son enracinement dans la commune, en disant sa certitude que les Balizacais accueilleront les 28 nouvelles familles (nommées une par une) aussi chaleureusement que l'avait accueilli en son temps son épouse : « il y a 42 ans que je vis chez elle ! ».

Un fleuve tranquille.

Comment après cela voir dans ce village qui vient de dépasser les 400 habitants (25% de plus qu'en 99), qui a vu naître cinq bébés en 2006, qui a « tout misé sur les enfants » avec la maternelle, le RPI, la garderie périscolaire et le point de rencontre jeunes, autre chose  qu'une communauté joyeuse et heureuse ?

Michel Lacôme avait beau détacher l'une après l'autre les réalisations de 2006 (enfouissement des réseaux électrique et téléphonique, éclairage public, installation de « coussins berlinois », etc...) ou celles prévues pour 2007 (olives de ralentissement dans le bourg, salle d'évolution à l'école, aménagement du site de l'église, nouveau forage pour l'eau potable, etc ... ), on avait l'impression que tout cela coulait comme un long fleuve tranquille.

Jean Pierre Castro .

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Sud Ouest 21 avril 2006.

 

Encore de gros travaux dans le bourg.

Lors du vote du budget 2006, les élus ont décidé de ne pas augmenter les quatre taxes

Sur les dix ou onze conseillers en exercice (une conseillère a écrit au maire qu'elle souhaitait démissionner), sept étaient présents et deux excusés. Les comptes administratifs ayant fait ressortir un excédent global de 83 552 €, celui‑ci est affecté au budget 2006, qui s'équilibre à 277 049 € en fonctionnement et à 205 585 C en investissement. Il est décidé de ne pas augmenter les autres taxes, à l'unanimité, comme pour tout ce qui précède.

La section fonctionnement ressemble fort à celle de 2005.

A la page des ressources, on retrouve, outre le report de l'excédent 2005, les mêmes deux gros postes : autour de 70 000 E: pour les impôts locaux et environ 100 000 E: pour les dotations et subventions.

Côté dépenses, même similitude avec trois groupes presque égaux :

les « charges à caractère général » (principalement l'entretien des biens de la commune,

les « charges de personnel » et les»« autres charges de gestion courante » (60 % pour le RPI).

En investissement, la quasi‑totalité ira encore aux travaux du centre‑bourg: 115 000 € pour la voirie proprement dite, 37 200 €: pour l'éclairage public, 25 000 C pour l'enfouissement des réseaux téléphoniques, etc.

Il y aura là un besoin de financement de 68 391 C inscrit sous forme d'emprunt au budget. Adopté.

Salle d'évolution.

Le maire rappelle aux élus le legs de 100 000 € fait par Melle Laffargue et que la commune doit toucher dans un avenir très proche. Cette aubaine pourrait permettre de ne pas emprunter. Cependant la capacité d'emprunt de la commune étant bonne actuellement ‑ le remboursement d'autres emprunts étant venu à échéance, Michel Lacôme pense qu'il serait peut‑être plus judicieux d'emprunter et d'utiliser le legs pour construire une belle « salle d'évolution » pour l'école maternelle, salle à laquelle on pourrait donner le nom de la bienfaitrice. On avisera le moment venu.

Un débat s'instaure ensuite sur un autre projet: l'aménagement d'un logement locatif communal. L'achat de la maison de M. Caillot étant plus problématique que prévu (évaluation des domaines et concurrence d'un voisin), le maire pense maintenant plus prudent d'aménager ce logement dans le presbytère. En tout état de cause, cela doit rester une opération blanche pour le contribuable.

On vote ensuite le budget annexe des transports (personnes dépendantes) qui s'équilibre à 2 706 € et celui du service de l'eau: équilibre à 40 665 C en fonctionnement et à 21 235 €: en investissement, avec un report de 10 000 € d'excédent du premier compte sur le second.

La réunion se termine par l'examen d'une demande de permis de construire hors carte communale. Elle est rejetée (quatre voix contre trois), comme l'avaient été les deux premières.  

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