Captieux.

La vie du Village.

 Actes de vie. Vie des arts. Cadre de vie. Vie commune. Faits de vie.

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Ecrivain 26 janvier 2007 Classe de mer 15 mars 2007 Euro-Edi 1 juillet 2005

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Le Républicain 15 mars 2007

88 enfants partent en classe de mer.

Les quatre enseignants de l'école élémentaire ont conduit tous leurs élèves à la découverte du milieu maritime sur l'île d'Oléron.

La réussite d'un voyage est conditionnée par une bonne organisation, les préparatifs faisant aussi partie du plaisir de voyager.

Depuis la rentrée, les élèves et l'équipe pédagogique se sont activés pour préparer ce déplacement, exceptionnel par le nombre d'enfants concernés. Un travail en amont a permis aux enfants de faire connaissance avec les paysages, la flore et la faune maritimes.

Chacun a préparé son carnet de bord, outil indispensable sur place pour un bon déroulement du séjour. Enfin, les plus grands se sont exercés à maîtriser parfaitement les règles de conduite et de sécurité en vélo, des circuits étant programmés sur l'île.

Et lundi dernier, le jour du grand départ était enfin arrivé. Direction le Moulin de l'île d'Oléron. C'est dans ce centre de vacances PEP (pupilles de l'enseignement) que les enfants étaient confortablement hébergés, bien nourris (plateau de fruits de mer le dernier soir) et encadrés par des animateurs dont les enseignants ont loué les compétences.

A partir de ce point de chute, les enfants ont découvert les multiples facettes de l'île d'Oléron à travers des activités à la fois ludiques, sportives et culturelles, le tout avec un regard d'eco-citoyen respectueux de l'environnement.

Pêche à pied, promenades en vélo, course d'orientation, visite de la citadelle ... le programme dans son ensemble a pu être maintenu malgré un temps plutôt agité. Et les enfants, les accompagnateurs et les enseignants ont pris des grands bols d'air et savouré ces moments passés hors du contexte scolaire.

D'autre part, comme le souligne un enseignant «le séjour a permis de renforcer la cohésion entre les élèves, surtout entre les petits et les grands».

Ce voyage a pu s'organiser a un prix raisonnable grâce au concours de nombreux Capsylvains : les commerçants qui ont offert généreusement les lots pour le loto, les parents d'élèves qui se sont investis pour confectionner des pâtisseries et les vendre sur le marché, le Groupement Laïque qui a largement subventionné le séjour, ainsi que l’APE, et la mairie.

Collaboration à laquelle il faut rajouter le dévouement des bénévoles accompagnateurs qui ont puisé dans les heures de RTT pour encadrer les élèves.

Et dans ce domaine, adultes et enfants pouvaient compter sur l'expérience et les compétences de Christian Laprie et Patrick Lummaux, tous deux pompiers, de Cyril Capes, directeur du centre de loisirs, de Françoise Lacoste, enseignante retraitée et de Mélanie Lummaux, assistante d'éducation.

A Captieux, les enfants présenteront leurs impressions et les moments forts de ce voyage lors d'une exposition photos. Une expo itinérante qu'ils feront également découvrir aux écoliers de Préchac où ils se rendront à bicyclette.

Frédérique Gallitre.

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Sud Ouest 26 janvier 2007

Un écrivain revient sur les terres de son enfance à la rencontre de ses lecteurs

Serge Lapisse en dédicace.

Serge Lapisse dédicacera, le lundi 29 janvier, à partir de 9 h 30, à la Maison de la presse de Captieux, ses ouvrages « l’Appel de la vie » et « Notre monde en mutation».

Cet auteur qui se décrit lui-même comme écrivain, philosophe et poète, a passé une partie de son enfance à Captieux où il a fréquenté l'école communale.

Il est aujourd'hui installé à Eauze dans le Gers.

Docteur en droit, il a étudié en autodidacte la philosophie, la psychologie et la sociologie, il est sociétaire de la société des gens de lettres de France.

Auteur d'une douzaine d'ouvrages, il est titulaire de nombreuses récompenses littéraires, dont la médaille de platine pour la valeur littéraire au Grand Prix international Raymond Bath.

« L'Appel de la vie » est son premier roman, est l'histoire d'hommes et de femmes d'âges différents, venus d'horizons divers qui vont se rencontrer et s'investirent dans une vie de groupe respectueuse de leur individualité. 

« Notre monde en mutation » ouvrage philosophique, durant lequel l'auteur tente de faire ressentir les valeurs du futur qui permettront aux hommes d'échanger en fonction de leur complémentarité.

P.G.

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Sud Ouest 1 juillet 2006.

Euro-edi entreprise installée en région parisienne délocalise ses activités dans la commune.

Transfert heureux.

Gilbert Lavier est le pdg d'EURO-EDI, une entreprise d'édition de progiciels de gestion dédiés aux échanges électroniques professionnels, comprenant une douzaine de salariés. Cette société est implantée sur la ZAC de Palaiseau, entre autoroute et LGV.

Amené à venir occasionnellement dans le sud-ouest pour y rendre visite à une connaissance personnelle, ce dernier décide d'acheter une maison à Bazas. Séduit par la région, il s'en fait le promoteur auprès de ses salariés, au point de les convaincre d'envisager une délocalisation de l'entreprise.

Le projet, à la fois personnel et professionnel pour les agents décidés à risquer l'aventure, devient alors partagé. Il reste simplement à trouver un point de chute. Parmi la liste des lieux envisagés en sud Gironde figurent Bazas, Langon, Castets en Dorthe ou Grignols. Mais pas encore Captieux.

Le bonheur est dans le sud.

Qu'est-ce qui motive un chef d'entreprise installé à Palaiseau à venir s'implanter dans un village rural du sud-Gironde ? Et comment un village sud-girondin peut-il parvenir à se faire connaître d'un entrepreneur parisien pour s'imposer comme le lieu d'une délocalisation réussie ?

Deux questions qui traduisent deux nouvelles réalités : d'un côté, l'envie de certains acteurs de l'entreprise de s'éloigner des zones urbanisées de l'lle de France pour goûter à la qualité de vie du monde rural; de l'autre, l'attractivité nouvelle de secteurs parfois très reculés, qui peuvent aujourd'hui envisager un nouveau développement.

Un salarié d'Euro-Edi habitant Lartigue, nouvellement embauché dans cette société pour participer aux opérations de transfert, informe un élu de sa commune de cette opportunité. « La balle est aussitôt transmise au conseiller général, Jean-Luc Gleyze, pour qu'il transforme l'essai » et que cette démarche de délocalisation s'effectue dans le canton.

Il prend donc contact de façon volontariste avec Gilbert Lavier, le convainc de venir à Captieux pour le rencontrer, lui propose un, puis plusieurs locaux, le met en contact avec les propriétaires concernés.

L'acquisition d'une maison en vente sur la commune est presque effectuée, mais l'affaire ne peut se réaliser en raison d'engagements juridiques précédemment conclus par le vendeur.

Des locaux provisoires.

Gilbert Lavier a pris sa décision, c'est à Captieux qu'il s'implantera, parce que c'est le seul endroit où un élu a déployé autant d'efforts pour l'accueillir. Désireux désormais d'acheter plutôt un terrain ou construire ses bureaux, il demande au conseiller Général d'en repérer quelques-uns.

Très vite, un nouveau rendez-vous est pris, un des terrains sélectionnés, et la mise en relation avec le propriétaire est rapidement réalisée. L'acte d'achat de ce terrain a été signé depuis quelques jours. Entre-temps, les deux principaux protagonistes de cette « délocalisation positive » se sont mis d'accord, avec l'appui de la municipalité, pour l'octroi d'un local provisoire qui permettra à EURO-EDI de s'implanter à Captieux dès le 3 juillet. Dans quelques mois, l'entreprise rejoindra ses locaux définitifs après qu'ils aient été construits.

Ainsi, ce canton rural, dont la desserte en ADSL aura été un outil essentiel dans ce transfert, accueillera prochainement dix nouveaux salariés d'une société de services informatiques pour les entreprises. Une première pour un secteur économiquement fragile, une première aussi pour toute l'équipe d'EURO-EDI qui construit là un nouveau projet de vie.

J.L.Gleyze

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Mardi 18

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