Pujols sur Ciron.

La vie du Village.

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Sud Ouest 13 février 2007 . 

L'ancienne décharge du Pingua, à Pujols, devra t elle être dépolluée ?

Inquietudes en sous sol

Le dossier a été abordé  lors du dernier conseil  communautaire du canton de Podensac.

L'ancienne décharge du Pingua à Pujols sur Ciron « a été pendant des années la poubelle du canton », explique le président de la CdC, Philippe Dubourg.

Or, conformément à la loi, il est fait obligation aux collectivités de mettre en conformité tous les dépôts d'ordures, en service ou non, en finançant la réalisation d'une étude géotechnique avant d'opérer, si cela s'avère nécessaire, à une onéreuse dépollution des sites concernés.

Ainsi, suite à un arrêté préfectoral daté de fin 2005, Pujols sur Ciron a été mis en demeure de se pencher sur le sort de l'ancienne décharge du Pingua recensée par la DRIRE comme un site à risques.

Située sur une ancienne carrière, la décharge du Pingua est restée en service entre 1973 et 1988, à une époque où les contingences écologiques étaient moins évidentes qu'aujourd'hui.

« On n'a pas discuté, relate le maire de Pujols, Dominique Clavier, excusé lors du conseil communautaire et joint par ailleurs. On a déclenché les études nécessaires pour un coût de 18 OOO€ assumé par la commune.

Cela dit, je considère que Pujols n'a pas à supporter seul le coût engendré par cette affaire car la responsabilité de tous les utilisateurs de l'époque est engagée ».

Utilisateurs à Cadillac.

Le maire s'est donc mis en quête des fameux utilisateurs, au de là de la limite du canton. « La commune et le centre hospitalier de Cadillac, notamment, en font partie. Nous avons donc engagé des démarches vis-à-vis d'eux ».

La crainte financière est réelle. Car si la DRIRE, en vertu d'études complémentaires, décide qu'il y a lieu de dépolluer, la note risque d'être salée.

Vraisemblablement plusieurs centaines de milliers d'euros.

« Imaginez que nous ayons une couche souterraine de dix mètres de déchets sur 2 hectares et que l'on nous demande d'effectuer les travaux ! La commune serait dans l'incapacité d'assumer financièrement un tel chantier.

Dans ce cas de figure, je n'engagerai rien sans l'assurance de financements complémentaires. je ne signerai pas de chèque en blanc. Cela dit, il n'y a rien qui nous dise aujourd'hui que la décharge représente un risque majeur. Mais il faut nous préparer ».

À l'appel de Philippe Dubourg, le conseil communautaire du canton de Podensac, a voté à l'unanimité une solidarité financière de principe, pour le paiement de l'étude, avec Pujols sur Ciron.

Une première étape.

Au fil des dossiers

Portage des repas. Une convention lie la CdC et le Centre de Soins de Podensac pour la confection des repas du service de portage à domicile. Le tarif de la prestation est porté à 4,28€. La délibération va amener un débat sur l'opportunité ou non de passer en liaison froide. Une option qui n'est pas partagée par l'ensemble des élus. Charte de Pays. Les élus de la CdC ont validé la Charte du Pays des Rives de Garonne.

Compensation.

Le passage en TPU induit des indemnités de compensation versées aux communes par la communauté de communes. Des indemnités qui seront mensualisées. Pour l'heure, le montant des indemnités est provisoire. Une régularisation sera effectuée une fois que la CLET aura décidé des ajustements.

Mission locale.

La participation de la CdC au financement de la Mission Locale des Deux Rives passe à 1,06€: par habitant, soit 17218,64€. Qui plus est, la CdC va verser une participation aux Fonds local d'aide aux jeunes (2.436,60€).

Tourne à gauche.

La DDE a préconisé la réalisation d'un tourne à gauche pour l'accès au multi accueil pour la petite enfance à Illats. Soit une dépense de 180.00O€ !

Pour financer cette dépense, Philippe Dubourg va solliciter une subvention auprès du Conseil général et déposer un dossier pour bénéficier d'une aide dans le cadre de sa réserve parlementaire.  

Michel Laville.  

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Collection Francis Lafont. 14 septembre 2005.

Château Saint‑Robert 2003 Poncet DeVille

Pendant deux siècles, les vins blancs de ce vignoble, issus de seulement trois hectares des trente quatre qui composent la propriété, ont été fameux pour leurs qualités.

Elles expriment sans doute au mieux toutes les vertus qui ont fait la renommée des vins de Graves dans le monde.

Poncet Deville est le nom du propriétaire qui avait acquis le domaine à la Révolution, le valorisa et en fit un vin de qualité.

Aujourd'hui, c'est le Crédit Foncier qui en est le propriétaire.

(SCEA~Bastor Saint Robert) et la direction a été confiée aux mains expérimentées de Michel Garat.

Le terroir est intéressant car il est influencé par la proximité du Ciron vers le sud ouest

Le vignoble est d'ailleurs très proche de ceux de Cérons et de  Sauternes.

Le sol est essentiellement gravelo-sablonneux et le Ciron joue son rôle pour produire un micro climat.

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