Saint Symphorien.

La vie du Village.

 Actes de vie. Vie des arts. Cadre de vie. Vie commune. Faits de vie.

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Voeux 15 janvier 2007 Budget 18 avril 2006 Conseil 8 mars 2007
LGV  30 novembre 2006 Délibérations 18 avril 2006 Conseil  28 février 2007

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Sud Ouest 8 mars 2007.

PAYS PAROUPIAN. Le conseil communautaire approuve un nouveau centre de loisirs à Hostens. Les avis divergent sur le choix de la méthode.

« Nous serons jaloux de notre qestion. »

Depuis une certaine décision du tribunal administratif, la commune de Saint Symphorien siège à nouveau à la table du conseil communautaire.

Mardi soir, à la mairie de Balizac, Guy Dupiol a mené la vie dure à son président Michel Lacôme et à Philippe Carreyre, conseiller général et maire de Louchats.

L'examen d'un projet de construction d'un centre de loisirs sans hébergement à Hostens résume assez bien une situation nourrie de piques et de commentaires acerbes.

Mais ces tensions n'écartent pas des convergences de vues.

Les élus du pays paroupian sont tous d'accord pour souligner l'opportunité de réaliser cet équipement. Le CLSH doit céder la place à une réouverture de classe annoncée à la rentrée.

Mais c'est sur le choix de la méthode que l'on ne parvient pas à s'entendre.

« Gagner du temps ».

Guy Dupiol se dit vraiment surpris : « Je découvre ce projet ce soir en réunion. je ne suis naturellement pas contre, mais je dis que l'on met la charrue avant les boeufs. Il aurait fallu commencer par désigner un maître d'oeuvre, un architecte et se caler sur un avant projet sommaire ».

Michel Lacôme défend un autre point de vue : « Je crois qu'il faut gagner du temps. Et pour cela je souhaiterais que vous m'autorisiez à déposer une demande de recette au titre de la Dotation globale d'équipement versée par l'État ».

Le vote qui suit laisse planer un doute. Huit voix pour, cinq contre et une abstention. Au delà, le conseil communautaire s'achemine vers un projet ambitieux et une construction en dur, l'opération serait estimée à 250.000 euros.

Mais d'ici là, la location ou l'achat d'un préfabriqué pourrait répondre à une situation d'urgence. Une construction ne pourrait être finalisée avant deux ans.

« Constructif, mais vigilant ».

Le choix de la méthode encore. C'est sur ce point que Guy Dupiol annonce qu'il s'abstiendra sur le compte administratif. Le maire de Saint Symphorien a demandé des comptes sur l'indemnité du président de La CdC, le fonctionnement des déchetteries et le déficit du syndicat des ambulances.

Philippe Carreyre défend la juste mesure d'une bonne gestion des intérêts communautaires, avec un niveau d'investissements importants surtout en réparation de voirie, ce qui entraîne un déficit compensé par un excédent reporté de la section fonctionnement.

Guy Dupiol a prévenu ses collègues: « Nous continuerons à être présents aux réunions et serons animés d'un véritable esprit constructif. Mais je dois ici rappeler le rôle que joue sur ce territoire Saint Symphorien, chef lieu de canton. Nous serons jaloux de notre gestion ».

Il ne faut désespérer de rien dans le partage de l'esprit communautaire. Il est des questions qui recueillent une belle unanimité. Les déchets, par exemple.

La CDC a décidé de signer une convention avec une société pour la récupération des déchets ménagers spéciaux. Philippe Carreyre présente l'expérience de tri sélectif qu'il veut mettre en place à Louchats.

Les élus décident alors d'engager une réflexion en commission, sur une étude comparative des différents modes de collectes et traitements possibles. Guy Dupiol glisse la nécessité de construire une nouvelle déchetterie à Saint Symphorien.

Pierre Lascourrèges.

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Sud Ouest 28 février 2007

Travaux terminés, travaux en cours, travaux en projet, les conseillers ont étudié les différents dossiers.

Bientôt la maison de retraite.

Non seulement sorti de terre, mais désormais construit, couvert et fermé, l'établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD), autrement dit la maison de retraite, aligne fièrement sa façade entre la gendarmerie et la RPA (résidence pour personnes âgées).

Fait assez rare pour être signalé, cette réalisation est en avance sur l' annonce faite au moment du début des travaux.

Le maire, Guy Dupiol, a annoncé « l'ouverture des portes au début du second semestre 2007 », lors de la dernière réunion du Conseil municipal. Le CCAS (Conseil communal d'action sociale), qui gèrera l'établissement, a décidé sur proposition de Guy Dupiol de créer à cette fin un budget annexe au budget principal, exclusivement réservé à l'EHPAD.

Le recrutement du personnel a commencé. Les entretiens préalables avec les candidats sélectionnés pour le poste de directeur ont eu lieu et le choix est imminent ou déjà fait.

Viendront ensuite ceux concernant les candidats aux autres postes.

Au fil des chantiers.

Les travaux d'aménagement de l'avenue Thiers se sont terminés par la réduction à 3,50 m de la largeur de la dernière section et la création de trottoirs des deux côtés. Enfin, les piétons vont pouvoir accéder à la place de la République dans de bonnes conditions.

Par contre, l'« alternat par sens prioritaire» qui en a découlé pour les véhicules s'avérant moins sûr, le Conseil municipal a décidé de mettre en place des feux tricolores.

Les prochains travaux d'aménagement du bourg concerneront la place Michelet et la rue Martin Naudon avec une priorité : « La protection des biens et des personnes contre les risques induits par la croissance continue du trafic de poids lourds » et, en particulier, celle des établissements scolaires qui sont tous sur la zone.

Jean Pierre Castro

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Sud Ouest 15 janvier 2007

Guy Dupiol a présenté ses voeux et dressé un bilan de son action.

Un discours offensif

Petite tribune installée pour la circonstance. Verbe haut, ton solennel. Guy Dupiol, homme passionné, ne fait pas dans la demi mesure : visiblement, il a voulu marquer les esprits. 

Ce début d'année 2007 n'est pas tout à fait comme les autres.

Certes, les échéances électorales approchent et le maire entend célébrer les « dix années » (onze en réalité) de son action municipale, devant les 150 à 200 personnes qui avaient répondu à son invitation. Et dimanche la liste des réalisations qu'il a fait ressortir était fort longue.

Le Maire a sans doute voulu marquer, à l'attention des éventuels opposants, qu'il serait dur après cela d'affirmer qu'il n'avait rien fait pour sa commune...

On peut résumer les propos de l'élu. Depuis 1995, date de sa première élection, Saint Symphorien est passé selon lui d'une situation économique « catastrophique » à un « renouveau certain ».

D'autre part, aucun des équipements qui concernent la commune n'aurait été laissé en l'état : eau, assainissement, voirie, éclairage public, bâtiments municipaux et scolaires, équipements sportifs, parc de logements, etc.,tous ces élément de la vie des Paroupians ont « bénéficié de nombreuses améliorations et quelquefois de gros investissements. »

Tout cela en gardant une fiscalité locale qualifiée de « modeste ».

Réalisations.

Pour le renouveau économique, c'est sans aucun doute l'installation de Gascogne Wood (ex Escobois) et de ses sous traitants, puis l'unité de production de carottes et l'Intermarché qui expliquent principalement le doublement dés ressources de la commune (taxe professionnelle), ainsi qu'un nombre substantiel de créations d'emplois.

Pendant ce temps, la population a augmenté de 20 % et se situe aujourd'hui autour de 1600 habitants.

Dans cette longue liste, on mentionnera les plus importantes réalisations communales, avancées par le maire: 82 maison construites en association avec les organismes HLM ; une bibliothèque médiathèque, aménagement du centre et de l'avenue Thiers ; réfection du stade, nouvelle station d'épuration et la restructuration du groupe scolaire, qui sont en chantier.

Enfin, la maison de retraite, en cours de construction, qui sera « le plus gros investissement de la commune depuis la Libération. »

Evoquant « la vie de misère que connaissent beaucoup trop de personnes sur notre territoire », Guy Dupiol a eu à coeur de montrer qu'à travers et au delà de ces réalisations, il avait centré son action autour de la vie quotidienne de ses administrés : jeunes, personnes âgées, familles, environnement, et autour du rayonnement culturel de la cité.

Jean Pierre Castro. 

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Le Républicain 30 novembre 2006.

Tracé politique ou tracé logique.

Après celle de Préchac organisée par l'association des maires de Gironde, c'était au tour de Saint Symphorien de recevoir une réunion publique d'informations et de débats au sujet de la LGV.

La commission de débat public et RFF avaient employé et déployé les grands moyens pour présenter au mieux les divers projets de tracé.

D'entrée, le ton est donné par les élus, le maire de Saint Symphorien, Guy Dupiol, et le Conseiller Général du Canton, Philippe Carreyre, qui pointent à nouveau le doigt sur les défaillances de l'information, sur la pertinence de trois projets de tracés et sur la demande expresse d'un report d'au moins un mois, de la clôture du débat.

Un vaste débat s'instaure autour de la communication, de l'information et de la façon de faire. Le président de la commission particulière de débat public, essaie autant faire que peu d'expliquer les retards, les manques, mais il ne convainc guère l'assistance et les élus du bien fondé de l'action.

Le sentiment qu'a la population, d'être pris en traître, ne s'estompe pas. Les dés paraissent pipés et certains se demandent bien pourquoi il y a tous ces défauts de procédure dans l'information et la communication, qui sont pourtant les bases du débat.

Dans la présentation du projet (du tracé numéro trois par exemple, prévoyant la création d'une ligne passant par l'Est des Landes) faite aux habitants, il est souvent question du fret et de l'amélioration des voies existantes.

Une nouvelle ligne à grande vitesse, en site propre permettrait donc de renforcer le trafic marchandise, et par conséquence de diminuer sensiblement les poids lourds sur la route.

Pour les élus, il est clair que le tracé le plus approprié est celui de l'ouest, car il dessert le bassin d'Arcachon qui est le deuxième pôle de population de Gironde à l'année, qui explose en période estivale. Ce qui est confirmé et appuyé par François Deluga, maire du Teich et vice président du Conseil Régional.

Lors de la réunion, des questions ont été posées sur les nuisances de la création d'une ligne en site propre, les problèmes du chantier et de sa mise en oeuvre...

Quid des retombées économiques, hors celles de la construction ? Mais voilà : les participants ont attendu des réponses. Ils n'en ont pas eu. Quel tracé sera retenu ? Le plus logique, à l'ouest, le plus politique vers les Landes, par Mont de Marsan ? Faut il faire une nouvelle ligne ?

La justification de l'autoroute ferroviaire a du mal à se mettre en place. Si elle devait se faire, pour les participants le tracé ouest est le plus adéquat, mais cela ne semble pas être celui de RFF.

Saint Symphorien, après plus de trois heures de débat arrive aux mêmes conclusions, le tracé trois est inacceptable . Cela promet donc pour la prochaine réunion, qui se tiendra à Captieux, des joutes à belles envolées.

Jean Luc HARRIBEY.

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Sud Ouest 18 avril 2006. 

L'excédent du budget eau et assainissement permettra l'autofinancement de la station d'épuration.

Le tarif de l'eau n'augmentera pas.

La séance a commencé par la présentation des comptes administratifs très positifs de l'exercice 2005: un excédent global de clôture de 169 823,82 euros pour la commune, auquel s'ajoute celui du service eau et assainissement : 254 568,30 euros et celui du service pompes funèbres 14 905,04euros.

Le maire, Guy Dupriol exprime sa satisfaction devant l'excédent considérable du service de l'eau et ce qu'il doit à la gestion publique. Non seulement cet excédent va permettre d'autofinancer la part qui revient à la commune dans le gros investissement que représente la nouvelle station d'épuration 990 000 euros, mais celui-ci sera réalisé sans augmentation du tarif d'eau.

Le maire profite de ces bons résultats pour placer l'avenir immédiat sous le signe d'une action volontariste dans ce domaine : « Nous nous sommes engagés dans une démarche d'assainissement des nappes de surface et il est essentiel que progressivement tous les habitants proches du collecteur se raccordent au réseau, les autres devant prévoir une installation individuelle ». Ces derniers seront aidés par le SPANC (service public d'assainissement non collectif) que la commune est en train de mettre en place.

Croissance du budget.

L'approbation par le conseil des taux des quatre taxes, le m'aire faisant remarquer que la fiscalité de Saint Symphorien n'a pas augmenté depuis onze ans , le bugdet primitif 2006 s'équilibre à 1 172 476 euros pour la section fonctionnement et 1 293 703 euros pour la section investissement.

Guy Dupiol souligne l'importance de ce dernier chiffre, qui a grossi considérablement depuis quelques années grâce à la présence de six nouvelles entreprises (taxe professionnelle), qui seront bientôt sept puisque les travaux de la maison de retraite viennent de commencer. « Nous pouvons grâce à cela nous permettre beaucoup plus de projets qu'autrefois ». Pour ce qui est des travaux prévus en 2006 (voir encadré), ils sont ceux qui avaient été annoncés au cours du conseil du 25 janvier.

Demandes. Le maire évoque la demande dont il a été saisi par la compagnie Lubat de Gasconha comme les maires de Villallandraut et de Cazalis qui ont déjà répondu favorablement de « soutenir ses projets artistiques sur notre territoire ». Guy Dupiol considère que « la renommée internationale de Lubat contribue au développement culturel et à la reconnaissance des communes associées ».

Le conseil approuve à l'unanimité et l'autorise à signer la convention qui doit lier les communes et la compagnie. Une commission composée de toutes les parties la mettra en application.

Le conseil municipal ayant été saisi par courrier d'une demande du président du Cercle pour une subvention concernant les activités organisées par celui‑ci pendant la fête locale, cette demande est rejetée par la majorité des présents. Par contre, sur proposition du maire, le conseil mandate celui‑ci pour faire au Cercle ouvrier la proposition d'ouvrir, dans un endroit qui pourrait être séparé du bar, une sorte de « maison des associations » dotée du matériel de reprographie et de communication (internet) qui pourrait être subventionnée par la municipalité, mais qui serait « totalement indépendante » de celle‑ci.

Circulaire. Dans un domaine tout à fait différent, Guy Dupiol signale que l'acquisition de l'hôtel restaurant « Les Charmilles » a été inscrite au budget, bien que non encore finalisée. 

Au cas où elle le serait pendant l'exercice, « il est évident que cela doit rester une opération blanche pour les Paroupians ». Comme pour la pharmacie et le cabinet des kinésithérapeutes. Le remboursement des sommes engagées par la mairie se ferait sous fforme de location-vente.

Enfin, le maire fait part d'une circulaire préfectorale concernant le financement des écoles privées stipulant que « la commune de résidence doit participer au financement... dans tous les cas où elle devrait participer au financement d'une école publique qui accueillerait le même élève ». 

Le conseil demande à l'unanimité l'abrogation du texte de loi correspondant et charge le maire de transmettre copie de sa délibération aux députés et sénateurs du départements.

Jean‑Pierre Castro.

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Sud Ouest 18 avril 2006.

Au fil des délibérations.

Les quatre taxes. Taxe d'habitation : 7,56 %; foncier bâti 11,07 %; foncier non bâti 21,39 %; taxe professionnelle: 9,32%.

Les travaux inscrits au budget.

Première tranche de la restructuration du groupe scolaire (314 000 euros); travaux à la pos­te, au presbytère, à l'ancienne mai­rie (46 820 euros); troisième tran­che de l'aménagement de l'avenue Thiers (173 500 euros);

voirie en agglomération : Mûriers 1et 2, Pins (77 500 euros); moderni­sation du matériel informatique du secrétariat (17 000 euros).

Services publics.

Le Parc naturel a accepté de monter un dossier pour que la Maison des services publics soit reconnue pôle d'excellence rurale.

Dans le même domaine, la CAF souhaite ouvrir un point d'information service, et les ASSEDIC un accès gratuit à Internet pour les chômeurs à la mairie de Saint Symphorien. Deux conventions seront signées prochainement.

PLU.

La rédaction du plan local d'urbanisme est en cours, mais elle n'est pas terminée.

Stade. Les travaux étant terminés, Guy Dupiol veut qu'une convention soit signée entre la mairie et le Sporting, qui définira les droits et devoirs de chacun pour l'utilisation de ces belles installations.

Immobilier.

La vente par la municipalité d'un logement en mauvais état rue de l'Hôtel‑de‑Ville et de deux parcelles sur la route de Balizac ‑ demandées par un Paroupian ‑ est votée, ainsi que la location d'un gite « en l'état » et un permis de construire à Millet.

Archives.

La défunte Association des propriétaires et chasseurs du canton demande par une lettre de son ex‑président Michel Larrouy à la municipalité de Saint‑Symphorien d'être la gardienne de ses archives. Ce qui est accepté.

Transports.

Les dossiers concernant le transport des personnes dépendantes sont à retirer au CCAS. Le tarif de ces transports est de deux tickets pour un transport (aller‑retour) à l'intérieur du périmètre des communes du SK/OM et de six tickets pour un transport (idem) à Bordeaux, Langon ou Bazas. 80 % du coût est pris en charge à part égale par la commune et le Conseil général.

Fête locale.

Bruno Laboirie, délégué aux activités associatives, annonce une course cycliste pour l'édition 2006 de la fête locale.

Internet. Stéphane Doussin, qui gère le site Internet de la commune, annonce que les commerçants ont créé un site parallèle avec un lien réciproque.

Nouveau‑nés.

Le conseil décide de porter de 15 à 30 euros le montant de la somme allouée et déposée sur un compte d'épargne par la municipalité pour tout nouveau né dont les parents sont domiciliés sur la commune.

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