Villandraut.

La vie du Village.

 Actes de vie. Vie des arts. Cadre de vie. Vie commune. Faits de vie.

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Sommaire.          
Conseil 6 avril 2007     Rond Point 18 avril 2006
Conseil 2 mars 2007 Conseil Municipal 11 avril 2006 Chemin. 8 juin 2006
Budget  18 avril 2006 Pot. 3 mai 2006 Voeux 2007 29 janvier 2007

Sommaire.

Sud Ouest 6 avril 2007.

La commission des finances a refusé de voter le budget 2007 qu'elle avait élaboré.

La frilosité du budget attaquée.

Le climat était électrique dès l'ouverture des débats pour la réunion du Conseil municipal qui avait pour principal objet le vote du budget. Christian Picard, le maire a fait preuve de sang froid pour affronter les coups de boutoir assénés par certains conseillers.

Il n'était pas question de mettre en cause les chiffres avancés tant pour le compte administratif 2006 que pour le budget primitif 2007 mais de contester l'ensemble de la gestion communale.

Louis julien Sourd prenait la tête de la fronde, soutenu en cela par Laurent Baup, Pascal Fauque et Jean Beliard.

Le budget primitif semblait respecté puisque, en section fonctionnement, seul le poste alimentation dépassait les prévisions de 5 201 euros. La section investissement déclenchait la vindicte du quatuor qui reprochait vivement à Christian Picard qu'aucuns travaux importants n'avaient été entrepris en 2006.

« Année blanche » pour Louis julien Sourd, tandis que le maire, point par point, expliquait les motifs des diverses non réalisations.

Aborder les recettes n'a pas calmé le climat puisque, toujours pour Louis Julien Sourd, « refuser d'investir n'est pas une démarche de bon fonctionnement et l'argent non dépensé n'est pas le fruit d'une bonne gestion mais d'une frilosité mal venue.»

Pour lui, il est nécessaire de gonfler les recettes et il proposait donc la vente de bâtiments communaux, la suppression de poste d'employés communaux, l'augmentation des prix de plaçage au marché, la location du domaine public aux commerçants empiétant sur trottoir ou places publiques. Il demandait qu'une délibération soit prise sur le champ pour la vente de la maison du Ciron.

Aides aux associations.

Christian Picard rétorquait que la question était mise à l'étude, et qu'il attendait qu'une estimation des domaines soit faite pour cet immeuble, mais aussi pour le château d'eau et une parcelle de terre à Privaillet.

Il expliquait aussi qu'il n'était pas question d'augmenter le tarif de plaçage, celui-ci étant particulièrement élevé pour la région. De son côté, Dominique Pairoys intervenait pour signaler que l'indisponibilité d'un employé pour raison de longue maladie justifiait le nombre d'agents communaux en poste.

Louis Julien Sourd demandait alors que soit supprimée l'aide aux associations (environ 10.000euros).

Résistance de la majorité du Conseil à cette proposition et même si les 450 euros attribués à l'ACCA étaient momentanément remis en cause, le Conseil admettait que le soutien à l'ensemble des associations était indispensable à la vie locale.

Insistance de Louis Julien Sourd pour une suppression des aides aux associations non rattachées à la commune seules, l'association des donneurs de sang et la Prévention routière (85 euros au total) seraient concernées , les subventions ne seront donc pas diminuées.

« Vote politique ».

Une augmentation de 5 % des taxes locales était acceptée par l'ensemble du Conseil mais la frilosité des projets 2007 a conduit à l'abstention de quatre voix. Le budget a été accepté avec six voix contre quatre abstentions,

Coup de colère de Dominique Pairoys qui constatait que dans ces quatre abstentions se trouvaient trois voix de membres de la commission qui avaient dressé eux mêmes le document autour de l'agent du trésor public et en avaient approuvé sans restriction la réalisation. « Vote politique », a répondu M. Sourd.

Dans le brouhaha a percé alors la voix de Jeanine Bourcier responsable du CCAS qui a demandé que les comptes de ce service soient soumis au Conseil. C'est dans une indifférence quasi totale que l'ensemble du Conseil a accepté le budget (excédentaire dé 193 euros).

La réunion s'est terminée en prenant acte de la démission du Conseil de M. Pierre Moreau et par le vote de la suppression du poste de Sylvie Maye, agent administratif, qui a quitté ses foncions à la mairie.

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Sud Ouest 2 mars 2007

Les élus ont débattu du devenir du château et de bâtiments communaux.

Préserver l'avenir

La « Maison du Ciron ». Une belle bâtisse, mais qui demande une rénovation importante.

Le maire Christian Picard avait demandé à Jean Luc Harribey, président de l'association Adichats, de venir informer le Conseil des conséquences que l'on pouvait attendre de la vente du Château. « L'acte de vente est en instance, c'est donc le promoteur Norbert Fradin, déjà propriétaire de plusieurs châteaux et passionné de châteaux médiévaux, qui s'est porté acquéreur.

Ce dernier, avec qui j'ai parcouru le site, souhaite faire le plus rapidement possible les travaux urgents de consolidation qui s'imposent, puis plus tard d'autres travaux de restauration historique. » Jean Luc Harribey ajoute aussitôt : « En ce qui concerne les visites et les manifestations culturelles, Norbert Fradin pense que ce n'est pas son rôle et qu'elles doivent continuer à être assurées par Adichats ».

Devant un situation que le président d’Adichats qualifie lui-même d'idéale, certains conseillers s'interrogent sur le désintéressement du promoteur.

Réponse :

« D'une part Norbert Fradin peut avoir des aides de l'Etat pour un bâtiment classé monument historique, d'autre part il peut pour les mêmes raisons déduire de ses revenus imposables une grande partie de ceux qui resteraient à sa charge ».

Inutilisation.

Trois autres bâtiments, qui appartiennent quant à eux à la commune, posent un problème du fait de leur inutilisation depuis un certain temps : la « Maison du Ciron », la maison du Trésor Public, le petit château d'eau.

Après débat, on décide d'essayer encore de louer la deuxième, qui comporte à la fois un local commercial et un logement.

Le troisième sera mis en vente après délimitation par le maire du terrain attenant. Quant à la première, elle donne lieu à une vive discussion du fait que la CdC, qui avait envisagé d'y installer son siège, ne semble plus s'y intéresser, vraisemblablement à cause des travaux de remise en état, qu'elle ne peut supporter. Le Conseil décide de la mettre en vente si ce désintérêt est confirmé.

Jean Pierre Castro.

Au fil des dossiers.

Périmètre de protection du forage de la Madeleine: le Conseil approuve la demande faite par le maire de devis à six entreprises différentes.

Aménagement entrée ouest du village (rond-point), dont les travaux doivent avoir lieu en septembre : le Conseil décide de demander la dotation globale d'équipement et une étude pour le classement des voies communales par catégories, indispensable pour l’avoir.

Suite à une lettre de la sous-préfecture et aux explications de Louis Julien Sourd sur le dossier Viviers de France, les élus donnent un avis favorable au passage d'élevage de truites à celui d'esturgeons pour les deux sites de Balizac et de Villandraut, à certaines conditions (étang du Balion).

Ils demandent par ailleurs pourquoi l'enquête publique a eu lieu seulement à Balizac et pas à Villandraut.

A la suite de M. Sourd, les conseillers s’émeuvent du vote récent de la Région en faveur du tracé Est du projet de LGV.

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Sud Ouest 29 janvier 2007

Lors de la cérémonie des voeux, Christian Picard dit son inquiétude pour les activités liées au château.

Le château est vendu.

De surface très réduite  la commune de Villandraut n'a jamais  eu une grande activité agricole. Cette élégante petite bourgade a un aspect urbain.

Pour 800 habitants, elle ne possède pas moins de cinq places toutes entourées de belles maisons contiguës.

Son marché, florissant depuis le dix huitième siècle, a consacré sa vocation de place commerciale, de lieu de passage et d'échanges. Associée à jamais au nom de son illustre fils, le pape Clément V, elle a aussi développé des activités culturelles autour de son château, qui attire un flot continu de visiteurs.

C'est pourquoi il n'est pas étonnant que le maire Christian Picard ait fait part à ses invités, pour la cérémonie des voeux, de son inquiétude au sujet de la vente, qui vient d'avoir lieu de ce monument. « Site admirable pour les Journades, la Fête du pain et surtout l'activité de l'association Adichats qui est un apport très important pour l'économie et la renommée de la commune ».

Propriété d'une famille historique, sa gestion avait été confiée à l'association villandrautaise.

Mis en vente depuis plusieurs mois, sa transmission au domaine public n'a pu se faire, malgré la volonté de la municipalité, notamment en raison des prétentions grandissantes des vendeurs. Les dernières nouvelles sont cependant rassurantes. L'acheteur, qui pourrait être le promoteur bordelais Norbert Fradin, déjà propriétaire du château du Prince Noir de Lormont, aurait fait connaître ses bonnes dispositions quant à l'utilisation actuelle du château.

Chêne bicentenaire.

Après avoir remercié les personnalités présentes, et en particulier les re­présentants de la gendarmerie, des pompiers, de l'Église et des associations, Christian Picard souhaita la bienvenue aux deux nouveaux employés municipaux : Christine Avril et Daniel Chambon, puis énonça tous les projets de la municipalité pour 2007.

Outre la dernière phase du PLU (Plan local d'urbanisme) et la mise en application du SPANC, (Schéma public d'assainissement non collectif), il s'agit de l'agrandissement du cimetière (terrain acheté en bordure de la piste cy­clable), de l'agrandissement de l'école et de la cantine, de l'implantation d'un carrefour gira­toire à l'entrée ouest du village, et du réaménagement du marché avec l'installation d'équipements spécifiques pour les commerçants qui en ont besoin.

Le maire évoqua aussi la protection du chêne bicentenaire qui se trouve près du pont et le lancement d'une étude pour le périmètre de protection du forage d'eau potable. 

Il cita enfin « le travail remarquable » qu'avait accompli Louis Julien Sourd en menant pour la commune la négociation et l’acquisition des terrains Monsanto, vaste espace naturel au coeur du village et projet environnemental qui a déjà accueilli cet été le festival Uzeste Musical.

Avant de laisser les invités à la dégustation d'un succulent Sauternes, Christian Picard a remercié le personnel municipal « pour son travail rigoureux et compétent ».

Jean Pierre Castro.

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Sud ouest 8 juin 2006.

Chemin de la discorde.

Dilemme et, imbroglio juridique dans deux dossiers à l'étude des 'élus au conseil municipal.

Dilemme pour le Conseil municipal face à la proposition de création, par la société Bouygues, d'un lotissement route de Préchac.

Comme de nombreuses communes du sud‑Gironde, la municipalité ne reste pas insensible à la néoruralisation, et voit d'un assez bon oeil l'augmentation de sa population. Aussi, lorsqu'en 2005, la société Bouygues propose de mettre en place un lotissement de 37 maisons disposant en moyenne de 1000 m2 de terrain chacune, le projet parut suffisamment alléchant pour retenir l'attention des élus qui donnaient leur accord.

Mais un nouveau projet venait rendre caduque le précédent, le nombre de maisons augmentait de façon sensible, la surface mise à disposition étant elle aussi augmentée.

Seul le terrain mis à la disposition de chaque maison rétrécissait et passait de 1000 à 350 m2. Le maire interpellait alors la société Bouygues, mais attend encore aujourd'hui une réponse. Après discussion et faute de précisions, le conseil municipal a décidé, par six voix contre trois, de refuser son accord au nouveau projet.  

Le chemin frontière.

Lorsque Didier Blécot achète un terrain à bâtir, il constate que sur le cadastre est mentionné un chemin communal qui traverse son terrain. Dans la réalité, le chemin a été abandonné pour être remplacé par une nouvelle voie de passage qui, elle, longe sa parcelle.

Didier Blécot est décidé à régulariser une situation qui ne lui apparaît que simplement administrative, l'avenir va lui donner tort.

Ce chemin, en effet, après avoir traversé sa parcelle, s'enfonçait dans les terres et servait aussi de frontière entre les communes de Noaillan et Villandraut.

Noaillan, dans le cadre de ses opérations de remembrement, constate l'abandon du tracé initial et décide donc de déclasser ce chemin qui n'existe plus. Le nouveau tracé intéresse directement une famille d'agriculteurs et passe en partie sur les terres de ladite famille.

Il serait logique que soit rétrocédé à la commune de Villandraut le bout de terrain incriminé, mais celui‑ci est en indivision, l'opération de pouvant avoir lieu qu'avec l'accord de tous les membres de la famille.

La municipalité est tout à fait disposée à officialiser le nouveau tracé. Didier Blécot ne sait plus où il doit poser sa clôture, ce qui lui appartient ou ce qui fait partie du bien commun. Un petit brin de sagesse viendra‑t‑il éviter le passage au tribunal administratif ?.. Affaire à suivre.

Au fil des dossiers :

Piscine.

Le prix d'entrée de la piscine est  fixé à 2,50 € pour les adultes et à 1,30 € pour les enfants de moins de 12 ans, le billet étant valable pour la journée complète.

Problèmes de chats errants.

La municipalité passe une convention pour la capture des chats avec la SACPA, société qui s'engage à capturer les animaux contre une subvention équivalent à 0,33 € par habitant et une prise en charge de 110 euros pour la capture de deux chiens ou de trois chats maximum.

VAL.

Suite à l'organisation de la foire commerciale d'avril, une subvention de 300 euros est accordée à l'association VAL.

C.P.

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Sud Ouest 3 mai 2006

La traditionnelle réunion du village autour du maire.

1er mai de départ.

Entouré d'une grande majorité de son Conseil municipal, la maire Christian Picard accueillait les Villandrautais autour du verre de l'amitié. Il en profitait pour faire un rapide bilan de la vie de la commune: augmentation de la population grâce à de nombreux nouveaux arrivants. Ce fut l'occasion aussi pour présenter les projets de l'année 2006, entre autres, la remise en état des toitures de la maison Adichats, du musée ainsi que du logement situé au‑dessus de l'Office de tourisme, l'agrandissement de la cantine et de l'école rendus nécessaires par une augmentation sensible de la population scolaire. Il fut question également du réaménagement de l'entrée ouest de Villandraut, ainsi que de nombreux autres travaux mis en place avec la Communauté de communes, tels la construction d'un centre de loisirs sans hébergement et l'aménagement d'un dojo.

Christian Picard terminait son discours par un geste amical envers la famille Hussenot qui s'apprête à quitter Villandraut. Il donnait la parole à Louis, conseiller qui fut aussi, un temps, premier adjoint, toujours très présent dans la vie communale.

Avec beaucoup d'humour il a raconté le parcours familial et celui au sein d'un Conseil, auquel il était très attaché. Mais les raisons familiales qui conduisent cette famille à s'éloigner de Villandraut ne rompront pas les liens qui s'étaient mis en place de part et d'autres. C'est ce que rappelait Isabelle Dexpert, conseillère générale du Canton qui ne cachait pas son plaisir de remettre à Louis Hussenot la médaille du Conseil général, sans oublier, Monique, la sympathique épouse du conseiller partant.

Christian Poyti.

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Sud Ouest 18 avril 2006

Enfin le rond point.

Dans le vote du budget, l'aménagement de l'entrée ouest du bourg.

Le projet resurgit périodiquement, mais cette fois, c'est bien de façon concrète que le conseil municipal aborde le problème. Malgré la nécessité de revoir, pour la sécurité de tous, une rectification de l'accès dans le bourg de Villandraut pour les véhicules en provenance de, Balizac et Saint Symphorien, le dossier avait été maintes fois repris et abandonné, avec comme raison essentielle la trop grande complexité pour mener à bien un tel projet.

Il faut dire que situé à quelques centaines de mètres du château Clémentin de Villandraut, les travaux nécessaires ne pouvaient être projetés que dans des normes bien précises.

L'efficace collaboration menée entre la DDE et en particulier par M, Alain Falissard et par les Bâtiments de France, sous la houlette de l'architecte Michel Marty, a permis de sortir de l'imbroglio ce dossier épineux.

Aujourd'hui, il ne reste plus que quelques relevés altimétriques afin de juguler les eaux pluviales et la mise en route des travaux pourrait être envisagée d'ici la fin de l'année.

Station service.

Ce projet qui démarrerait place Gambetta, pour rejoindre le camping sur la route de Saint Symphorien, verrait donc en particulier la mise en sécurité de l'accès au camping ainsi qu'au tennis.

Un sens giratoire serait installé devant la station service et sécuriserait l'accès route de Saint Symphorien et le centre bourg avec la route du stade et celle de Balizac. Cette dernière bénéficiera d'un nouveau tracé qui conduira son accès au niveau de la route du stade.

Si un tel chantier ne peut que donner satisfaction à de nombreux Villandrautais, les gérants de la station service M. et Mme Dartigolles, qui ne contestent pas les bienfaits de ces aménagements, sont relativement inquiets sur l'avenir de la station. Elle devrait être fermée durant toute la durée des travaux, et le nouveau tracé risque de mettre en péril sa rentabilité.

Le montant des travaux est évalué à 262 295 euros : ils bénéficieront d'une subvention de 45 000 euros de la part du Conseil général, de 35 000 euros de la part de la DGE, de 43 862 euros du FISAC, de 43 800 euros de la part de la Communauté de communes, le complément étant apporté par un emprunt de 9 463 euros.

Christian Poyti.

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Sud Ouest 18 avril 2006

Le budget sans heurt.

Alors que le budget 2005 n'avait été approuvé que par quatre voix sur l'ensemble du conseil, c'est plus sereinement que celui de 2006 a été adopté.

Les comptes administratifs laissent apparaître un excédent de 87 294,67 C alors que les comptes investissements montrent un déficit de 56493, 81 C : déficit expliqué par un emprunt non inscrit au moment de l'élaboration du budget.

Nombreuses réalisations sont à porter au compte de cet exercice avec, entre autres, la dernière tranche de la rue Madeleine, chantier important qui a permis l'électrification de cette section ainsi que l'enfouissement du réseau EDF et France Télécom; la désinsectisation des collections d'objets du musée, le retraçage du cimetière; le réameublement de la salle des fêtes (tables et chaises), l'aménagement du parking de l'école, et le réaménagement de la place de la salle des fêtes.

De très nombreux travaux sont envisagés, en particulier: l'édification d'une classe par le RPI, la réfection indispensable du réseau d'eau, celle des toitures de bâtiments communaux (Adichats, logement Office de tourisme, musée, lavoir).

À noter les difficultés d'encaissement pour certains loyers d'appartements communaux.

Des investissements sont aussi prévus dans le cadre de la mise aux normes du marché, de l'achat du matériel d'équipement et surtout la mise en chantier de l'entrée ouest de Villandraut .

Les comptes et budgets sont dans l'ensemble accueillis favorablement sauf abstention de Louis julien Sourd qui note que d'une part certains travaux ont été effectués sans l'approbation du conseil et sans qu'il ait pu consulter le devis et d'autre part; il considère que l'embauche d'un agent supplémentaire ne s'avère pas nécessaire. Abstentions également de Pascal Fauque et Louis Moreau (par procuration).

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Sud Ouest 11 avril 2006.

Le Conseil unanime.

Les élus ont approuvés à l'unanimité les comptes et budget annexes.

Le bon fonctionnement du camping a retenu l'attention du Conseil municipal qui souligne l'efficacité du gérant du site : Patrick Molto.

Afin de limiter les charges rencontrées lors de la reprise du camping, le Conseil, en son temps avait décidé de reporter le loyer de la première année. Délibération a été prise afin que le dit loyer en retard soit échelonné sur les deux années à venir. L'accord a été donné à l'unanimité.

Monsieur le Maire a fait part ensuite d'un emprunt de 38 500 euros au taux de 3,25%, contracté auprès de la caisse d épargne. Si le taux parait fort raisonnable, la somme demandée a provoqué le mécontentement de Louis Julien Sourd qui aurait souhaité que l'emprunt s'élève à 50 000 euros et ce afin de régler les factures sur les travaux à venir. Il a d'ailleurs insisté sur le fait que les réunions de la commission finance se font à son insu. Remarque qui a déclenché la réprobation d'une grande partie du Conseil municipal.

Aménagement.

Concernant la taxe locale d'équipement, la commune a été autorisée à prélever une taxe d'équipement sur les futurs immeubles construits.

Le conseil a aussi donné son accord pour une taxe de 3 %:

Enfin, l'architecte Monsieur Zabo a également proposé de rencontrer les délégués de la commune au sein du CA du musée afin de leur présenter un projet de réaménagement du musée.

Le budget sera voté lors du Conseil municipal du 13 avril à 20 h 30

Christian Poyti.

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